27 janvier 2010
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15:15
Ce matin, à quelques kilomètres de la maison, à l'entrée de Rabat. Je conte devant 3 classes, les CE3, CE5 et les CE6, (55 et 60 élèves) à chaque fois. 2 contes, l'un dont nous avons l'album, le Gruffalo. L'autre que j'ai écrit dont le texte est sur le blog, On joue Bach On joue Bach (épilogue ajouté le 25 janvier) . J'ai emmené avec moi l'enregistrement de Rostropovitch. Et ça fonctionne. Quel plaisir que de faire entendre Bach à des enfants marocains. J'ai aussi envie de découvrir de la musique arabe. Mme Alaoui, la directrice de l'institut el mansour m'a donné plusieurs noms d'artistes.
Le Gruffalo permet une participation réelle des enfants. La description de l'un des personnages est écrite au tableau et les enfants se réjouissent à dire et mimer. Le contage de On joue Bach évolue bien après les remarques faites hier à la Villa des arts, à l'occasion de formation aux contes que propose Amal.
Je retourne à la Villa des Arts la semaine prochaine et à l'école mais dans 2 semaines seulement, pour cause de vacances dans les écoles marocaines la semaine prochaine.
C'est, Karima, l'inspectrice d'éducation dont la tâche est de superviser l'enseignement de l'arabe dans les écoles françaises du Maroc, qui m'a proposé cette intervention. Elle assiste à l'ensemble des contages et me conseille. "Ne définis pas chacun des mots difficiles que les enfants pourraient ne pas connaître, choisis plutôt un pseudonyme" ou "Prononce bien chacune des syllabes". Je suis stupéfait par le niveau en français des enfants de l'école qui ne parlent français qu'ici, dans leur école.
Photo : le fronton de l'école
Le Gruffalo permet une participation réelle des enfants. La description de l'un des personnages est écrite au tableau et les enfants se réjouissent à dire et mimer. Le contage de On joue Bach évolue bien après les remarques faites hier à la Villa des arts, à l'occasion de formation aux contes que propose Amal.
Je retourne à la Villa des Arts la semaine prochaine et à l'école mais dans 2 semaines seulement, pour cause de vacances dans les écoles marocaines la semaine prochaine.
C'est, Karima, l'inspectrice d'éducation dont la tâche est de superviser l'enseignement de l'arabe dans les écoles françaises du Maroc, qui m'a proposé cette intervention. Elle assiste à l'ensemble des contages et me conseille. "Ne définis pas chacun des mots difficiles que les enfants pourraient ne pas connaître, choisis plutôt un pseudonyme" ou "Prononce bien chacune des syllabes". Je suis stupéfait par le niveau en français des enfants de l'école qui ne parlent français qu'ici, dans leur école.
Photo : le fronton de l'école